Tandis que je cause dans mon coin d'histoire et d'archives, d'autres, archivistes eux, causent aussi dans leur coin. J'ai découvert ces derniers jours Le blog d'un cyberarchiviste, au ton drôle et surtout intéressant (pour moi) puisqu'il offre le regard d'un archiviste, de l'autre côté de la barrière en quelque sorte. Et un petit deuxième au ton semblable et tout aussi intéressant (parce deux c'est mieux, mouhahah... pardon, mais c'est la fatigue, ça n'arrange pas mon humour... ) Dans les bas-fonds de l'archiviste.
Deux blogs féminins, qui s'ajoutent à celui d'Artémise, de Pergamina et au mien. Mais où sont les hommes?
Pour faire tomber à plat cette dernière réflexion (deux blogs...), voici un troisième : Chroniques archivistiques. Bonne lecture!
Deux blogs féminins, qui s'ajoutent à celui d'Artémise, de Pergamina et au mien. Mais où sont les hommes?
Pour faire tomber à plat cette dernière réflexion (deux blogs...), voici un troisième : Chroniques archivistiques. Bonne lecture!
4 commentaires:
Bonjour
Merci pour les liens.
Sur les marchés aux "puces" du secteur nombreux sont ceux qui vendent de tout et de rien.
Moi j'ai le "coeur qui se pince"
lorsque je découvre un diplome et les medailles du travail d'un gars
que je ne connais pas, le faire part mortuaire de celui qui est décédé il y a juste 10années....
Sur je ne n'ai pas encore trouvé une oeuvre de Gauguin , mais de veilles photos de couple en habits de noces...
C'est vrai, c'est toujours un chagrin de penser à ces hommes et à ces femmes dont la mémoire s'est perdue, même en famille. Je trouve cela intéressant de prendre en note l'histoire familiale, de rassembler les principales photographies dans un album que l'on se transmet ensuite de générations en générations. Ce n'est pas de la petite histoire, c'est l'histoire. Celle d'une famille d'instituteurs, artisans, commerçants, paysans, bourgeois modestes ou opulents. J'ai bien l'intention de conserver précieusement le "charnier" (pot de terre) que ma mère m'a montré récemment et dans lequel elle a vu, petite, ses parents conserver la viande, entre deux couches de sel, ou bien encore le vieux rouet familial... C'est très beau de transmettre cela aux enfants, et de ne pas laisser tomber dans l'oubli d'où ils viennent.
Bonjour
Ici pour "charnier"nous disons un
"saloir".Mon grand père conservait au saloir des morceaux de porc.
Alors que j'étais un gentil gamin,
mon grand-père m'a raconté l'histoire de ces deux enfants découpés et mis au "saloir" par un
méchant boucher.Ouf il furent sauvés par St Nicolas.
J'ai conservé ce fameux "saloir"
Les géraniums ont remplacé la viande.
Et de me dire "et si l'histoire de mon grand- père était vraie" ?
Comme quoi l'histoire peut aussi servir à calmer les ardeurs de quelques gamins turbulents... et servir d'avertissement même aux gentils! ;-)
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