- 50 lettres suivies 100 gr. (j'ai renoncé aux AR, trop coûteux);
- 10 lettres suivies 250 gr.;
- 70 enveloppes prêt-à-poster à mon adresse;
- 400 photocopies de diplômes, contrats de travail antérieurs, pièce d'identité, attestation de directeur de recherche, cv, etc...;
= soit un sous-total de 200 euros
- 50 exemplaires personnalisés de lettres de motivation;
- 50 dossiers, sur lequel sont marqués au fur et à mesure le nom de l'université, les dates d'envoi limite, l'adresse d'envoi, les exigences particulières
+ autant d'exigences particulières que d'universités (dossiers en double exemplaire, en simple, pièce n° 1 et 12 en double, etc);
+ autant de dates d'ouverture de la campagne de recrutement et de mise en ligne des dossiers vierges que d'universités, qui s'étale de mars à juin;
+ autant de date limite d'envoi et de clôture des candidatures que d'universités;
+ des dossiers en .pdf à imprimer et remplir à la main;
+ d'autres dossiers en .doc avec la mise en page de travers à reprendre, remplir, se re-battre avec la mise en page, supprimer les pages inutiles, imprimer, signer;
+ d'autres dossier en rtf (avec la mise en page de travers à reprendre... etc);
+ des dossiers éclatés en plusieurs documents, vérifier qu'il ne manque rien, farfouiller sur le site internet de l'université pour trouver la bonne page, avec les bonnes pièces mises en ligne;
+ une dizaine de login et mot de passe pour les universités qui pratiquent l'inscription informatisée, avec date limite de rigueur pour s'inscrire;
+ une moyenne de dix dossiers par semaine, soit dix à quinze heures de travail, en étant bien rôdé;
+ un taux de réponse favorable espéré de l'ordre de... 5 % ?
Ce n'est pas le parcours du combattant, mais juste la saison de recrutrement des enseignants contractuels des universités, doctorants ou jeunes docteurs en attente d'un poste fixe quelque part.
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